Le monde de l’au-delà ?
Crois-moi, moi j’y crois !
Ne t’enfuis pas, je vais t’expliquer
avant que tu t’abîmes…
L'homme
n'est pas maître de son souffle pour pouvoir le retenir, et il n'a aucune
puissance sur le jour de la mort…
Ecclésiaste
8.8
Le monde de l’au-delà, ce sera la
lumière, la douce lumière de l’amour de Dieu, puissante, consolante,
éblouissante, aimante, rassurante, réconfortante, bénie…
Ce matin encore
Emportée par l’espérance qu’Il a
mis mon cœur
Je Lui fais confiance
Je Lui chante ma fidélité
Ma fantaisie est de louer, d’inventer
des paroles d’amour pour lui dire ma reconnaissance
Balbutiements, simples, sincères,
pieux
Rendre gloire à Sa puissance et à
elle seule, c’est merveilleux !
Certains se confient au soleil, à
saturne, à la lune ou aux myriades d’étoiles qui brillent dans le ciel
Certes, ils éprouvent l’immense,
mais la limite de cette sensation se heurte à leurs incompréhensions
Qui est maître de tout ce beau ?
Qui l’a voulu ?
Qui l’a créé ?
Seigneur, renouvelle leurs pensées,
prête l’oreille à leurs délires et transforme leur crainte en paix
Ô viens, Seigneur, viens
Eclaire les contrées obscures
Brise les liens servant d’armure
Et fais souffler l’Esprit de
paix, l’Esprit de vie qui seul bénit
Viens, prends par la main ceux
qui ne peuvent plus avancer
Les chancelants
Ceux qui ont cessé d’espérer
Ceux qui sont brisés, chavirant
dans l’obscurité
Dans le recoin de mes pensées,
Quand troublée par je ne sais quelque crainte,
Je doute,
Sans bruit mais avec puissance,
Tu te tiens et m’attires à toi, Seigneur, pour me réconforter
Et m'annoncer Ta vérité
Fais de même avec tous mes proches
Viens, Seigneur, saisis-les !
Viens dans leurs vies, fais
jaillir pour eux Ta lumière qui, un soir, m’a enveloppée
Ce matin encore je t’implore
Pour les souffrants et les perdus
Pour les battants, les abattus
Les survivants, les inconnus
Pour eux, et pour tous les autres
Que leurs souffrances s’enfuient
au loin
Et que Ta paix les accompagne
Ici-bas et dans l’au-delà
Dans un murmure que tu connais,
car ma voix t’atteint, je le sais, je prie
Ma faiblesse ne m’affole plus
Car Ta parole, je l’ai lu et Ta parole,
je la crois et Ta parole, je la suis ; elle réchauffe mon petit cœur.
Ô Seigneur, dans le silence de la
nuit, je te prie pour le genre humain empêtré au bord des chemins
Pour cet au-delà qui a tant fait couler,
De l’encre et du sang, des larmes
et des coups
Savez-vous qu’il ne sert à rien d’essayer
de le circonscrire avec des flots de grands délires
C’est si simple
« Tu
es le chemin et la vérité et la vie »
Jésus nous l'a dit
Promesse infinie
Fidélité extrême…
Encouragée par Tes soins, Ta
tendresse, sans bruit et avec reconnaissance, je chavire dans l’amour du
prochain
J’avance sans crainte, emportée
dans les flots de Ton amour, et l’au-delà me tend les bras…
Crois-moi mon ami, moi j’y crois…
Annick
SB mai 2021
Défi de la plume chez Evy : Clic !
Bonsoir Annick à la vie, à l’amour, à la beauté du monde tes mots sont d'une douceur je met en ligne passe une douce soirée bisous
RépondreSupprimerMerci à vous !
SupprimerBonjour, c'est bien d'espérer de croire !
RépondreSupprimerBonsoir ! Oui, c'est bien, c'est bon, c'est beaucoup ...
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